Maniatux's Blog

Welcome to the internet

Archives 2011

Firefox sous KDE comme sous Windows

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Sur KDE il est possible de paramétrer le gestionnaire de fenêtres pour spécifier à Firefox des options d'apparence. Si on combine cette manipulation avec un addon conçu pour cela, voici ce qu'on obtient :

On notera non seulement la présence du bouton orange comme sur Windows, mais aussi la disparition de la barre de titre. Pour arriver à ce résultat, commencez par télécharger cet addon.

Après avoir relancé Firefox, faites un clic droit dans un espace vide des onglets, pour voir l'option Barre de Titre. Cela vous mène sur un tutoriel permettant de configuration la décoration de KDE pour Firefox.

Par la suite, refaites un clic droit dans la zone vide puis allez dans Options de Oxygen KDE. Dans l'onglet Autres cochez "Utiliser l'espace vide pour déplacer la fenêtre.

Étant donné qu'il n'y a plus de barre de titre, c'est quand même bien pratique. Fermez le tout puis faites un clic droit sur Firefox puis Personnaliser. Là vous allez pouvoir ajouter à la suite des onglets les boutons de réduction/agrandissement/fermeture.

Je vous encourage ensuite à retourner voir les options de l'addon pour paramétrer plus de choses.

Musique #2 Natalia Kills

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Cette fois on entre dans le genre pop avec une autre artiste découverte sur Deezer, Natalia Kills. Pour faire simple, sa voix et ses chansons rappellent un peu une certaine Lady Gaga. N'ayant pas regardé les clips ou les photos je ne saurais dire si la provocation visuelle ou vestimentaire est la même, mais en tous cas l'album est bien.

Voici un lien pour le titre Free de son album Perfectionist sur Deezer. Il est possible que vous ayez également entendu le single Mirrors, qui passe à la radio.

Classé dans : Culture - Mots clés : aucun

Jeu du moment #1 Deus Ex Human Revolution

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Résumé

Dans un futur très proche, la recherche biomécatronique a beaucoup avancé au point que les humains amputés de membres peuvent en recevoir des nouveaux, artificiels, leur donnant au passage des avantages non négligeables sur leurs pairs. Vous incarnez Adam Jensen, chef de la sécurité à Détroit de l'entreprise Sarif, spécialisée dans la production de ces "augmentations" du corps humain et la recherche.

Suite à une violente et sanglante attaque dans les laboratoires, Adam frôle la mort mais est finalement sauvé par l'implantation de nombreuses augmentations pour remplacer les parties de son corps irrécupérables. Celle-ci lui seront utiles par la suite pour enquêter sur les raisons de cette attaque, dans différents pays du monde.

Graphismes et univers

Les graphismes sont assez réussis, bien que souvent inégaux. Si les décors, les jeux de lumière et les particules sont très corrrects, en revanche la modélisation des personnages l'est beaucoup moins. Certains sont superbement détaillés, alors que d'autres ressemblent à des PNJ de décors avec des visages mal texturés. Le jeu est compatible DirectX11, fait assez rare pour être cité. Par contre, étant prévu pour tourner sur console, les environnements ont tendance à être petits et cloisonnés, même en extérieur. Rien de grave cependant, cela n'empêche pas d'envisager des tas d'approches possibles pour effectuer les missions.

L'univers est vraiment bien construit, avec des informations complètement optionnelles à trouver dans les ordinateurs et les livres électroniques un peu partout. On y apprend comment ont été imaginées les augmentations, la résolution de certains problèmes médicaux (rejet...), mais aussi l'évolution politique des pays, etc. L'ambiance cyberpunk est parsemée de complots, de corruption, qui semblent assez crédibles par rapport à notre réalité actuelle et qui s'inscrivent bien dans la lignée de la franchise Deus Ex.

Tout comme dans les précédents volets, vous rencontrerez diverses factions tentant d'imposer leurs idées au monde, soit par des conférences soit des actions terroristes.

Ouvrez les yeux et les oreilles car le jeu est parsemé de clins d’œil à d'autres films, livres ou jeux. On peut notamment entendre deux policiers parler d'un certain officier Alex Murphy, ou trouver des posters de Final Fantasy XXVII...

Gameplay

Le tout premier Deus Ex était très pointu au niveau du gameplay, tandis que le deuxième (Invisible War) avait réellement tout détruit au profil d'une simplification exagérée en vue de l'arrivée sur consoles (par exemple les munitions uniques pour toutes les armes). Deus Ex HR se rapproche plutôt du premier, on retrouve notamment les munitions spécifiques à chaque arme et l'inventaire dans lequel les objets peuvent prendre plusieurs cases.

Le côté RPG se matérialise par une gestion de l'argent (malheureusement trop abondant) permettant d'acheter des armes, munitions, grenades qui sont très très rares dans le jeu. Il y a aussi les praxis kit à trouver, qui permettent d'activer de nouvelles augmentations sur Adam Jensen. Mais on en reçoit également automatiquement en gagnant de l'expérience. Elles permettent d'améliorer les compétences de combat, la furtivité, le piratage...

Mais attention, pas question de passer les 3/4 du jeu avec le camouflage optique activé comme on peut le faire dans Crysis. Ici l'énergie est limitée et ne remonte pas toute seule. Il faudra donc gérer son stock de recharges, aussi rares que les munitions, et vous utiliserez finalement bien peu vos augmentations...

Faire les missions en tirant dans le tas ramène le jeu à un simple FPS. Mais le plus intéressant est l'infiltration puisque l'on peut assommer ou assassiner, au choix, les ennemis en se glissant discrètement derrière eux. L'assassinat se révèle assez bruyant mais expéditif. On peut également pirater les robots et tourelles afin de les désactiver ou les retourner contre les ennemis.

Il y a bien entendu de nombreuses armes, allant du pistolet au minigun en passant par le sniper. Pour les adeptes de l'infiltration, on dispose d'un pistolet similaire au taser permettant d'assommer silencieusement une cible, ou alors un fusil tranquillisant à grande portée. Pour les joueurs plus expéditifs on trouve un revolver un sniper, un pistolet-mitrailleur, fusil à plasma, minigun, des grenades explosives, flashbang... mais les munitions étant très très rares cette approche du jeu se révèle compliquée.

L'autre partie du jeu est remplie de dialogues et de mini-jeux. Les dialogues n'offrent pas de multiples choix, mis à part de la possibilité de refuser des quêtes secondaires, mais c'est tout. En revanche, pour ceux qui disposent de l'implant d'augmentation sociale, un mini-jeu vient s'ajouter à certains dialogues. En effet, l'implant analyse la personnalité et vous donne des conseils sur l’attitude à adopter pour convaincre votre interlocuteur.

Un mini-jeu est aussi proposé pour le piratage, assez compliqué au début mais on s'y habitue finalement. Il consiste à capturer les différents nœuds d'un réseau, tout en luttant contre le pare-feu qui essaie de vous éjecter. Ces phases de piratage ne sont pas obligatoires car il est parfois possible de trouver les codes d'accès sur les corps des ennemis, ou alors dans certains lieux.

Le but du piratage consiste à atteindre certains points du réseau, pour déverrouiller l'accès. Mais si vous êtes bon, il est aussi possible de capturer des "packages" dans le système, qui vous donneront des crédits en bonus ou des objets.

Conclusion

Deus Ex Human Revolution est un jeu très réussi, avec une version PC réellement optimisée pour le clavier et qui ne semble pas trop souffrir de sa consolisation mis à part les environnements extérieurs un peu cloisonnés. Celui qui cherche un mélange de FPS/RPG science-fiction, avec une histoire intéressante sera grandement satisfait.

Classé dans : Culture - Mots clés : aucun

LibreOffice et la PAO

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Il y a peu de temps j'ai voulu faire une maquette de journal pour l'association d'astronomie dont je fais partie, en m'inspirant des vrais magazines. Donc du texte réparti sur 3 colonnes contournant les images placées sur les pages notamment. J'ai tout d'abord commencé par utiliser Scribus, à l'aide de modèles. Mais celui-ci avait un comportement peu logique, par exemple un bloc de texte banal qui devenait gras avec des espaces quand je le remplaçais par mon propre contenu. Étant de manière générale peu intuitif je me suis vite tourné vers LibreOffice.

L'ennui c'est qu'on ne sait pas vraiment quel module utiliser. L'idéal pour faire la mise en page est d'utiliser Draw, c'est à dire le dessin vectoriel. Il permet de tracer des formes, de les positionner comme on veut, etc. Mais le problème est qu'il offre très peu d'outils de texte. Ainsi, pour faire un vrai texte en colonne, des lettrines (première lettre d'un paragraphe en plus gros), du texte justifié avec les traits d'unions en bout de ligne, il faut utiliser Writer.

Le dilemme est là, si je choisis Writer mon texte sera impeccable mais j'aurais du mal à positionner mes images, mes éléments, faire ma couverture. Si je prends Draw, j'aurai une structure exemplaire mais des bidouillages à faire pour la présentation du texte.

LibreOffice permet d'insérer des éléments de Draw dans Writer, et inversement, via la fonction objet OLE. Mais sérieusement, il y a un énorme problème avec ça. On a l'impression de manipuler des iframes qui ne tiennent pas en place avec des bordures impossibles à gérer. Ça n'est tout simplement pas utilisable. Je vous passe également les détails sur un bug entre LireOffice et KDE4 qui fait que l'ascenceur horizontal n'est pas utilisable.

J'arrive à m'en tirer avec l'outil Draw, mais je suis obligé de bidouiller pour la présentation du texte. Au lieu d'avoir un seul cadre de texte réparti en 3 colonnes à l'aide d'une fonction, j'ai 3 blocs de texte que je dimensionne manuellement. Sur le rendu final c'est impeccable, mais sur le modèle source c'est vraiment pas très propre surtout pour faire des modifications.

Planet-Libre ou pas ?

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Depuis un moment j'ai envie d'inscrire mon blog au Planet-Libre, afin d'y publier certains articles pertinents (pas tous). Cela me permettrait de me faire connaître un peu plus, et d'apporter ma contribution.

Mais je m'interroge sur la pertinence de l'inscription. Être publié sur un site aussi célèbre m'obligerait à atteindre une certaine forme d'excellence, des articles irréprochables tant au niveau du contenu que de l'orthographe. C'est la raison pour laquelle je ne suis pas encore inscrit, car je blog avant tout pour le plaisir.

Pluxml semble fonctionner avec le Planet-Libre puisqu'il y a une case "mots clés" dans l'article, dans laquelle on peut indiquer "planet-libre" (cela permet de spécifier les articles à publier). Peut-être que je franchirait le pas un jour.

Chers lecteurs, qu'en pensez-vous ?

Classé dans : Thoughts - Mots clés : aucun