Maniatux's Blog

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Hardware

Carte AMD + Carte Nvidia PhysX HowTo : #1 Introduction

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Les articles à venir vont traiter de l'univers propriétaire de Nvidia, Windows et des Jeux vidéos. Le titre étant assez explicite, j'espère que ceux qui y sont allergiques détourneront le regard ou ne cliqueront pas sur le flux RSS sous peine de saigner des yeux.

La physique dans les jeux vidéos

On ignore à quel point un bon moteur physique est essentiel pour le réalisme d'un jeu. Souvenez-vous de l'époque où il n'y en avait pas: il était impossible d'interagir avec le décors (saisir des objets), les ennemis mourraient dans des positions prédéfinies, les objets ne pouvaient pas flotter, etc...

Exemple concret: les premiers Call of Duty. Les ennemis meurent toujours dans les mêmes positions et cela donne parfois des résultats étranges surtout sur les terrains en pente. Contre-exemple avec Half Life ². Le moteur physique utilisé, Havok, offre un aspect beaucoup plus réaliste au jeu. On peut ramasser des objets, les lancer, il y a une vrai gestion de la flottaison sur l'eau, les ennemis meurent enfin de manière réaliste... et surtout les développeurs ont pu intégrer des énigmes basées sur la physique, l'une d'elles consistant à placer des flotteurs sous une plateforme immergée pour la faire remonter.

PhysX

Le concept, la réalisation et le développement de PhysX fut accompli par la société AGEIA. Ils développèrent ce nouveau moteur ainsi qu'une carte accélératrice PCI pour le faire tourner.

PhysX permet une gestion plus réaliste et plus poussé de la physique. Il gère l'écoulement des fluides, la destruction d'éléments, la gravité, les collisions, la génération de particules, la réaction des tissus au vent et les fumées. Malheureusement le concept était voué à l'échec, à cause de la nécessité d'ajouter une carte PCI. Avec du recul on peut comparer cette histoire avec les 3dfx. L'histoire était similaire: nécessité d'avoir une carte additionnelle pour en profiter. Cependant, la carte AGEIA fut jugée trop chère (plus de 200 euros) sachant que les jeux et les joueurs se contentent de peu au niveau de la physique. Et de nos jours, l'univers du jeu vidéo est majoritairement tourné vers les consoles. Et on ne peut bien sûr pas mettre de carte additionnelle dans une console. Donc pas d'intérêt pour les éditeurs.

PhysX est capable de tourner sur le CPU, mais les fonctionnalités avancées et "révolutionnaires" sont bien trop lourdes et nécessitent la carte additionnelle.

Bilan, ce fut un échec commercial et bien peu de jeux (une poignée) utilisèrent ce moteur. Et même, il restait grandement optionnel. AGEIA fut racheté par Nvidia.

PhysX et Nvidia

Nvidia modifia le concept matériel pour PhysX. Fini les cartes additionnelles PCI, il était maintenant capable de fonctionner sur une carte graphique. Une carte Nvidia, bien entendu... GeForce série 8 au minimum, gamme 9600GT ou supérieur recommandé.

Voici les modes de fonctionnement officiels :

  • Le joueur possède 1 seule carte Nvidia : PhysX fonctionne dessus (elle gère les graphismes et la physique).
  • Le joueur possède 2 cartes Nvidia, non configurées en SLI : une carte peut être dédiée aux calculs PhysX, l'autre aux graphismes.
  • Le joueur possède 2 cartes Nvidia en SLI : Même fonctionnement que pour le premier point.

Mais là où ça devient intéressant, c'est que depuis Windows 7, on peut avoir le comportement suivant:

  • Le joueur possède 1 carte AMD, et peut installer une Nvidia dédiée aux calculs PhysX.

Faites le calcul. Dans le cadre d'un fonctionnement officiel, on a besoin d'une solution 100% Nvidia. Soit 1 seule carte très puissante, soit deux cartes de puissance moyenne. Dans le cadre du fonctionnement non-officiel avec une AMD, on peut se contenter d'une seule Nvidia de moyenne puissance...

Bien entendu Nvidia n'a pas vu cela d'un bon œil et a rapidement intégré des bridages dans ses pilotes. En effet, si une carte AMD est détectée en affichage principal, la Nvidia refusera de fonctionner en adaptateur PhysX. Le constructeur explique qu'officiellement ils ne peuvent pas prévoir le comportement d'une AMD et d'une Nvidia ensemble, et ne peuvent donc pas en intégrer le support dans leurs pilotes.

Jeux compatibles

Des centaines de jeux utilisent une version "light" de PhysX, comme Mass Effect 2. Elle fonctionne sur le CPU et offre des effets à la hauteur de Havok, rien d'extraordinaire. Les jeux tirant parti des fonctionnalités avancées et nécessitant un adaptateur dédié PhysX sont bien plus rares.

On peut en trouver la liste sur Physxinfo. L'un des plus célèbres est Batman : Arkham Asylum. Le plus récent est Alice : Madness Returns. Paramétrer PhysX en mode "haut" dans ces jeux offre un univers bien plus rempli et riche.

AMD + Nvidia

Heureusement, des petits malins ont rapidement développé des patchs pour faire sauter ce bridage. On peut donc garder notre AMD en adaptateur graphique principal, et ajouter une Nvidia en adaptateur PhysX.

Les solutions décrites commencent à dater et ne sont pas toujours faciles à comprendre. De même que PhysX semble se comporter de manière obscure. Je vais donc rédiger des articles expliquant comment mettre en place tout cela et partager mes expériences.

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Retours souris R.A.T.7 et clavier G110

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Il y a 2 semaine je vous parlais de mon achat d'un clavier et d'une souris de gamer. Voici maintenant un petit retour d'utilisation.

Souris Saitek R.A.T.7

Elle est livrée montée avec les pièces les plus petites, les plus grandes étant fournies dans un coffret métallique rembourré. Mais cette configuration me va, j'ai juste du utiliser la clé 6 pans pour avancer un peu le bouton "sniper" vers mon pouce. Elle est parfaite, modulable et sa prise en main très agréable. Je la trouve un peu lourde, même avec les poids retirés, mais on s'y fait.

Les logiciels (Windows) permettent de programmer des fonctions, il y a notamment un bouton qui vous permet de switcher entre 3 modes: rouge, violet, bleu. Chaque mode correspond en fait à des programmations que vous pouvez définir dans l'application logicielle. Le bouton "sniper", qui permet de passer en sensibilité réduite, est terriblement efficace dans les jeux.

Les plus: Très jolie, agréable à prendre en main, modulable à souhait, robuste, précis.

Les moins: Je n'ai pas trouvé de point négatif pour le moment.

Clavier Logitech G110

Le bilan est nettement moins positif. Si le look, le toucher et le bruit sont plus que corrects, il y a en revanche un détail qui gâche complètement l'expérience de jeu: les touches macro. Elles sont disposées bien trop près des autres touches, ce qui fait qu'au toucher on ne reconnaît pas la disposition, et donc on n'arrive pas à trouver nos touches : Z Q S D... c'est aussi gênant parce qu'on ne peut pas poser la main, ou alors en dehors du clavier mais on perd alors nos touches des doigts et il faut les retrouver ensuite...

Donc en plein jeu, lorsque vous voulez trouver Z Q S D, Shift ou encore les raccourcis 1 2 3 4 vous devez jeter un coup d’œil sur les touches, ce qui est très désagréable et même pénalisant dans les FPS. Après 2 semaines d'utilisation je ne m'y suis toujours pas habitué, au point de devoir remettre un vieux clavier mécanique pour pouvoir jouer convenablement.

Autre défaut gênant: les touches sont bien trop petites, notamment la touche Shift censée être normalement large. Du coup, cela ne facilite pas sa localisation au toucher. Essayez de jouer à Mass Effect 2, qui requiert d'utiliser Shift pour donner des ordres au alliers, et vous deviendrez rapidement fous.

Côté logiciel, on rencontre aussi 3 modes: rouge, violet et bleu. Ils correspondent aux programmations que vous définissez pour vos macros. Le rétro-éclairage du clavier prend la couleur du mode en cours.

Les plus: Le look, le toucher, le silence

Les moins: Le positionnement des touches macro, la touche shift trop petite, clavier inexploitable en jeu.

Je n'utilise plus le clavier et ne compte le garder.

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Bagarres avec un laptop HP et réflexion sur l'obsolescence programmée

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Le monde des ordinateurs portables est impitoyable. Qui en vend le plus? Celui qui fait les meilleurs produits? Celui qui assure la meilleure assistance? Loin de là. C'est celui qui les vend le moins cher! Le discours du vendeur en magasin fait le reste.

On ne créé pas un ordinateur pour qu'il soit fonctionnel, ou qu'il rende un service, on le créé pour qu'il se vende. A partir du moment où il est vendu, le constructeur est satisfait, et le reste osef. Enfin il y a quand même une obligation de garantie de 1 an minimum, il faut donc faire tourner un SAV. Mais on se contente du minimum quitte à fournir un service déplorable avec des conditions de travail très mauvaises pour les employés. Un certain constructeur avec un nom de 4 lettres se traîne une réputation épouvantable sur ce point, et pour avoir vu comment cela fonctionne en vrai de leur côté je ne peux que confirmer.

J'ai une anecdote intéressante à raconter, à propos d'un laptop HP acheté courant 2009. Depuis plusieurs mois le ventilateur fait du bruit, une vibration qui se transmet au reste de la machine et devient très audible. Moi qui ait travaillé dans un SAV et démonté des centaines de laptop, je suis en mesure de m'en occuper. Mais imaginez si ce n'était pas le cas:

  • Bonjour, je voudrais faire réparer mon ordinateur. Il n'est plus garanti donc je m'adresse à vous, qui êtes une boutique informatique
  • D'accord que se passe-t-il?
  • Le ventilateur fait du bruit
  • Il y en a au moins pour 2 heures de boulot. Nous prenons 50 euros de l'heure. Il faut aussi que nous trouvions une pièce de rechange. Je vous conseille de changer de machine, c'est bien plus rentable

Le dépanneur n'a manifestement pas envie de s'embêter, et il n'a pas tout à fait tort, vous allez comprendre pourquoi en lisant la suite.

Je démonte l'ordinateur, conçu de telle manière que pour accéder au ventilateur il faut tout désassembler. Oui, tout. Il faut retirer le clavier, l'écran, les plastiques, et extraire la carte mère. Certains laptop proposent une petite trappe en dessous pour accéder directement au ventilateur et c'est très appréciable. Donc après 15 minutes de démontage je me retrouve face à la pièce en question. Que faire? Petit coup de soufflette, lubrification avec une bombe, mais cela ne résout que temporairement le problème (il revient au bout d'une semaine). Je vous épargne les détails sur les démontages/remontages effectués pour en arriver à la conclusion qu'il fallait changer le ventilateur.

Je me rend donc sur le site de HP qui propose un outil permettant de connaître le "part number" des composants d'un ordinateur. Très pratique. Je trouve la pièce en question: module refroidisseur + ventilateur. Déjà il n'est pas possible d'acheter le ventilateur seul, il faut prendre le bloc de refroidissement tout entier. Tarif: 40 USD, soit 35€. A cela il faut rajouter une quinzaine d'euros en frais de port. Tout ça alors que je n'ai besoin que d'un petit ventilo en plastique qui doit coûter moins d'un euro en sortie d'usine en Chine. Une fois de plus, vu la main d’œuvre et le coût de la pièce on comprend que tout est fait pour nous inciter à acheter une machine neuve. Si je tarifiais 50€ de l'heure le temps que j'ai passé sur cette machine en essayant d'éviter d'acheter une pièce de rechange, cela représenterai un coût phénoménal, au moins égal à celui d'une machine neuve.

Finalement j'ai tapé le part number sur ebay et ait trouvé un vendeur en Chine qui proposait le petit ventilateur seul, pour un tarif de 13€, frais de port compris. Et ça marche.

A partir de là on se rend compte une fois de plus de la réalité de l'obsolescence programmée. Lorsque votre machine tombe en panne, il y a beaucoup d'obstacles pour la réparer. Si vous ne pouvez pas le faire vous-même, c'est encore pire car aucun dépanneur n'acceptera de le faire ou alors les tarifs seront prohibitifs. Le constructeur déploie beaucoup d'énergie et d'argent pour vendre ses produits, en revanche il ne met pas tellement d'outils de suivi et de vente de pièces détachées derrière. Que ce soit bien clair, mon article n'est pas contre HP. Tous les constructeurs font pareil et le premier qui essaierai de "faire mieux" ne pourrait sans doutes pas survivre à la concurrence et ses produits moins chers.

Petit investissement: RAT7, G110 et reflexions d'un gamer

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

En plus d'être un Linuxien, je suis un gamer windowsien, ce qui me laisse peu de temps pour sortir (IRL) en dehors du travail. Mon PC de bureau, une bête de course tournant sous Windows Seven, fut assemblé par mes soins mais il y a des choses que j'avais négligé:

  • Clavier (récup)
  • Souris (récup)
  • Hauts parleurs (récup)
  • Ecran (récup)

Ces petits détails peuvent paraître insignifiants mais lorsque l'on joue de longues heures ils peuvent provoquer un inconfort. Le problème du son fut réglé par l'acquisition d'un casque Sennheiser. Le premier qui vous dit qu'un casque haut de gamme c'est snob et inutile se trompe lourdement, mais alors très lourdement. On redécouvre non seulement nos jeux mais aussi nos musiques. Les basses fréquences font même trembler les oreilles...

Pour l'écran je n'ai pas encore décidé, dalle TN, IPS, éclairage LED... le choix est vaste et tous les écrans ont leurs qualités et défauts. Mon choix pourrait se tourner vers le F2380M de Samsung, réputé pour son excellente qualité au niveau des couleurs, de l'ergonomie, des connectiques et de la réactivité, mais visiblement en proie à de la rémanence. Étant donné que j'ai joué toute ma vie sur des écrans de récup ou de bureautique, peut-être que cette légère rémanence ne sera même pas perceptible à mes yeux?

Concernant le clavier, j'ai investi dans un G110 de Logitech après mûre réflexion. Les modèles très hauts de gamme ne m'intéressaient pas vraiment, car disposant de 50 touches inutiles pour moi (programmables, pour les MMO). Le G110 semble un bon compromis à prix abordable. Le confort d'utilisation est bien présent, avec l'excellent repose-mains et le toucher agréable et silencieux. Le rétro-éclairage dont la couleur est paramétrable est le petit truc "geek" appréciable du clavier.

Pour la souris, j'ai craqué pour une R.A.T.7 de Saitek. Là encore, le choix ne fut pas évident surtout face à l'énorme catalogue Razer et Logitech. Ce qui me fut pencher fut le look geek et la personnalisation très poussée. En effet, la souris est livrée avec une petite clé six pans, qui permet d'agir sur des curseurs faisant varier les dimensions de la souris. Si ceux-ci ne suffisent pas, elle est livrée avec des pièces de rechange de différente tailles. Il y a bien entendu des poids à ajouter/retirer.

L'énorme inconvénient de ces deux produits, c'est la nécessité d'utiliser des applications propriétaires pour les programmer. Bien sûr ils peuvent fonctionner sans, mais vous perdez la possibilité de paramétrer la sensibilité, les touches macros, les couleurs de lumières... donc un mauvais investissement pour le non-windowsien.

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Les ordinateurs ARM

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Dans le monde de l'informatique grand public, une seule architecture matérielle domine: le x86. Que ce soit de l'Intel, de l'AMD ou du VIA, au final c'est toujours la même chose. Inventé au milieu des années 80, puis amélioré petit à petit, il ne se révèle pas toujours être le plus efficace. Alors pour quelle raison n'utilise-t-on pas d'autres architectures comme l'ARM, le MIPS...? Je vous le donne en mille: Windows!

En effet, Windows n'est disponible qu'en version x86 - et x86_64 maintenant - donc par conséquent tout l'éco-système de logiciels propriétaires sont en x86 eux aussi. Ce cercle vicieux bloque l'évolution de l'informatique depuis des années...

Cependant il semble que tout ceci soi amené à évoluer. En effet, le x86 étant beaucoup trop encombrant et trop gourmand en énergie, les fabricants utilisent l'architecture ARM pour les smartphones et tablet PC. Elle est conçue pour les systèmes embarqués et offre un excellent rapport consommation/puissance. Des systèmes d'exploitation accessibles comme iOS et Android fonctionnent très bien dessus.

L'année dernière, Toshiba se risqua à lancer l'AC100, un véritable ordinateur portable basé sur une plateforme Tegra2 de NVIDIA (processeur ARM double cœur) pour un tarif de 300€ rapidement descendu jusqu'à 200€ en 2011.


Toshiba AC100

Si on peut applaudir l'initiative, on regrette néanmoins que les trop nombreux défauts aient provoqué son échec commercial. Tout d'abord il n'y avait qu'un seul port USB, une blague que seul Apple avait osé faire jusque là avec son Mac book air à 1700€. Puis ensuite la présence d'un écran brillant avec une résolution pas super intéressante, et enfin la présence d'un système d'exploitation Android, sachant très bien que ce dernier n'est pas conçu pour un ordinateur portable. Il était possible d'installer Ubuntu, via des bidouillages plus ou moins périlleux, mais il fallait le booter depuis une carte SD, pas moyen de profiter du "SSD" intégré dans la machine. Bref cet appareil était plutôt destiné aux geeks avides de tester cette nouvelle architecture.

Cependant l'expérience du Toshiba AC100 a permis de faire les preuves de l'architecture ARM: quasiment 7 heures d'autonomie alors que la batterie était de faible capacité et que le processeur est un double coeur à 1 Ghz, possibilité de lire des vidéos 720p/1080p sans problèmes, silence de fonctionnement total car aucun ventilateur n'est nécessaire du fait du faible dégagement de chaleur des puces, etc...

Quelques temps après, c'est Genesi qui se lança dans l'aventure de l'ARM.


Le Genesi EFIKA MX Smartbook

Là aussi l'autonomie sur batterie est intéressante, malheureusement leurs prix paraissent un peu élevés vis à vis du processeur et de la quantité de mémoire... en contrepartie c'est Ubuntu qui est préinstallé, beaucoup plus adapté à un ordinateur que Android. Il faut noter que récemment les prix ont beaucoup baissé, et on nous annonce un prix de 204€, frais de ports compris pour un modèle 10 pouces sans 3G.

Conclusion

Ce que tout ceci nous démontre, c'est que l'ARM auparavant réservé aux périphériques mobiles se rapproche de plus en plus des "vrais" ordinateurs. Afin de ne pas céder sa place à iOS et Android, Microsoft a annoncé que son prochain OS Windows 8 serait porté sur architecture ARM. Le x86 a du souci à se faire, car on ouvre la voie à une concurrence de taille...

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