Maniatux's Blog

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Culture

Jeu du moment #3 Skyrim

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Résumé

Skyrim, terre du peuple nordique, est prise dans une guerre civile entre les partisans de l'empire et les opposants. Après une embuscade ayant mené à la défaite du chef des rebelles, celui-ci est emmené par les forces impériales dans le village le plus proche pour y être exécuté. C'est à ses côté que vous débutez, considéré comme un rebelle également, en route pour perdre votre tête. Mais c'est le moment que choisi un dragon pour attaquer le village, vous permettant de fuir.

Les dragons, considérés parfois comme une légende, étaient censés avoir disparu depuis des centaines d'années. Tout le monde a peur, mais votre personnage se révélera très utile grâce à une capacité spéciale que vous découvrirez en cours de jeu.

Graphismes et univers

Je crois que je ne surprendrais personne en disant que la carte est juste immense, et que la traverser d'un bout à l'autre (je n'ai jamais essayé) prend probablement plus d'une heure. Les paysages sont variables car on passe des forêts vertes aux montagnes enneigées avec une faune et une flore bien particulière à chaque fois. Il n'y a pas de chemin balisé, on se promène là où on veut, on découvre de nouveaux donjons, on chasse les loups sans que cela ne soit dicté par une quête, on cueille des ingrédients pour les potions... ou on profite du plaisir d'explorer cet environnement si grand.

Le jeu propose un système de voyage rapide, mais il vaut mieux ne pas l'utiliser car on rencontre aléatoirement des personnages, ou on assiste à des événements. Je marche de nuit sur une route, tranquillement, et j'aperçois au loin un fantôme cavalier. Je décide donc de suspendre ce que je faisais et lui courir après. Pas d’interaction possible, il ne fait pas attention à moi. Je continue donc à le suivre et arrive près d'un tombeau à ciel ouvert dans lequel j'ai certains objets à ramasser et ennemis à affronter. Skyrim est comme ça, on joue comme on le sent, on ne sait jamais si on va accomplir la quête d'une traite ou faire un détours, c'est ce qui fait l'intérêt du jeu.

Les graphismes sont très réussis, la modélisation des personnages a été particulièrement soignée et leurs visages sont expressifs (peur, colère..). Chacun est occupé à une tâche qui lui est propre, un forgeron sera vu en train d'utiliser un établi, tanner du cuir, etc. Et la nuit, tout le monde rentre chez soit ou fait un tour par l'auberge la plus proche... c'est vivant. L'environnement est doté d'un cycle jour/nuit et d'une météo aléatoire, proposant de la pluie et des orages (ainsi que de la neige en montagne bien entendu).

C'est grand, c'est vivant, on découvre à chaque instant de nouvelles choses, la réalisation a été particulièrement soignée.

Gameplay

Le point important à aborder en premier, c'est le moteur du jeu qui s'adapte au style de l'utilisateur : Radiant Story. Concrètement, cela se concrétise par des quêtes aléatoires, infinies, générées par le jeu. Elles se déroulent dans des lieux que vous n'avez pas exploré peuplés d'ennemis à votre taille. Par exemple j'ai commencé par jouer un guerrier bourrin, corps à corps avec armure lourde et épée à deux mains. Le jeu se faisait un plaisir de me générer quasiment 50% d'ennemis mages, qui sont capables de vous allumer à distance en un rien de temps si votre armure n'est pas enchantée pour résister au feu, au froid et à la foudre. Cependant, lors d'une deuxième partie, j'ai joué archer et je n'avais quasiment plus de mages ennemis, mais d'autres archers. C'est d'ailleurs un peu dommage, car ils sont très faibles, visent mal, et font peu de dégâts. Le jeu en devient donc horriblement facile étant donné que le joueur bénéficie au contraire de bonus presque abusés à l'arc. Le radiant story adapte aussi l'attitude des PNJ à votre égard, si vous faites le bien, certaines personnes viendront vous demander de les aider. Si vous rendez service à quelqu'un, il deviendra votre ami et pourra éventuellement vous laisser dormir dans sa maison, et vous donnera un héritage si il meurt. Skyrim introduit la possibilité de se marier, avec n'importe quel race et genre.

La création de votre personnage vous laisse le choix de 10 races, dont la différence est d'abord physique mais ensuite dans les caractéristiques. Par exemple, un bréton bénéficie d'une résistance de 25% à la magie ce qui peut se révéler utile, l'argonien respire sous l'eau, etc. Ils bénéficient ensuite d'un pouvoir unique, qui s'utilise 1 fois par jour : par exemple le rougegarde régénère 100% plus vite son adrénaline pendant 60 secondes. Enfin, certains talents bénéficient de bonus de départ qui permettent d'être un peu plus fort que les autres, mais cela s'estompe vite. En fait on retiendra surtout les critères physiques (ai-je envie de jouer un grand blond musclé, ou un tigre ?) et les bonus innés (la résistance de 50% au froid des nordiques est bien pratique). Et dernièrement, on notera que pour les puristes de l'aspect RP, le nordique est plutôt indiqué (car dans le background de l'histoire, le pays est en proie à une guerre civile qui vous concerne).

Tout comme dans Oblivion, vous disposez d'un inventaire limité en poids et de la possibilité de vous équiper d'armures, armes, objets, à quelques différences près. Le système de gain d'expérience a laissé tomber les compétences majeures et mineures, désormais il suffit d'augmenter n'importe laquelle pour gagner des niveaux. Et pour augmenter une compétence, il faut pratiquer. Forger pour devenir forgeron, taper pour être guerrier, etc. A chaque gain de niveau vous gagnez un point d'expérience à distribuer dans l'une de vos compétences. Par exemple pour débloquer la possibilité de forger des armures elfiques.

Le jeu propose une quête principale, mais on évitera de la faire car elle se révèle courte par rapport au temps que l'on passera sur les quêtes secondaires. Les guildes et factions sont au rendez-vous, l'achat de maison, le vol, les assassinat, le crafting d'objets, les enchantements... Skyrim est vraiment énorme.

Concernant la difficulté du jeu, je la trouve bien adaptée. Rappelez-vous de Oblivion, où l'auto-leveling des ennemis était mal conçu. Lorsque vous deveniez niveau 20-30, chaque bandit de grand chemin portait de l'équipement daedrique enchanté, les égouts étaient peuplés de minotaures, et les quêtes d'escortes étaient impossibles. Dans Skyrim, le problème a été résolu. Les bandits de grands chemins restent avec des armures de fourrure ou de cuir, et des armes en fer. Seul les chefs et les boss faisant partie des quêtes sont levelés, et c'est au niveau de leurs statistiques, pas de leur équipement. Concrètement vous rencontrerez un chef bandit en armure d'acier intégrale, avec une épée longue, mais qui sera capable de vous infliger des coups critiques mortels. Cela reste donc cohérent d'un niveau RolePlay, tout en offrant un challenge. La difficulté est bien dosée, même si selon moi le guerrier corps à corps reste désavantagé, surtout face aux mages. Cela vous oblige à ruser pour venir à bout de certains boss qui sont juste infaisables si on s'en tient à l'affrontement direct...

Conclusion

Skyrim est peut-être le jeu qui offre le meilleur rapport durée/prix, payez 50 euros pour jouer plus de 300 heures avec des possibilités alternatives infinies. Ce n'est pas un jeu, c'est un univers dans lequel vous évoluez et imposez votre style. C'est cependant très addictif et il faut donc faire très attention.

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J'ai joué à SWTOR

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Je n'ai jamais vraiment aimé les MMORPG, comme World of Warcraft, car je les trouve affreusement vides, difficiles, et en plus on passe le temps à courir sur la carte... donc quand j'ai appris que la suite de KOTOR2 allait être un MMORPG j'ai eu plutôt peur. Personnellement je joue pour l'histoire, et les MMO sont toujours trop techniques, on joue pour accumuler du stuff, prendre du level, c'est vraiment anti-immersif.

Le weekend dernier j'ai eu accès à la beta, parce qu'ils recrutent à la pelle pour charger leurs serveurs et faire des tests de stabilité et continuité. L'inscription est assez périlleuse car il y a 450 formulaires intrusifs à remplir, donc un qui vous engage à NE PAS discuter du jeu, ne pas publier de screenshots, etc. Mais cette clause de non-divulgation a été récemment retirée. Le téléchargement du jeu demande environ 25GB.

Lorsque j'ai pu enfin jouer, j'ai commencé par créer un cyborg soldat, côté république. Cette classe se joue sans subtilité, on utilise des grenades, des aoe, on arrose avec le blaster, un pur plaisir. Là où SWTOR est original, c'est que sa phase d'XP n'est PAS chiante. Alors que dans WoW le fait de tuer le moindre mob est difficile, surtout si ils sont plus de deux, dans SWTOR on les enchaîne sans grande difficulté par groupe de 5 ou 6. Ça va bien plus vite, on se prend moins la tête, et c'est mieux comme ça, car au final c'est l'histoire qui nous intéresse, pas d'être pris 3 heures dans des combats. D'ailleurs sur ce point là, nous sommes gâtés. Toutes les quêtes ont des cinématiques, et les personnages sont doublés. Il y a aussi plusieurs réponses possibles dans les dialogues, et un système d'alignement côté obscur / clair. Il y a des rebondissements dans l'histoire, et aussi des clins d'œil aux précédents KOTOR. Si on joue un contrebandier côté république, on commence le jeu dans un certain vaisseau connu.

J'ai abordé le jeu comme un jeu solo et ce fut assez concluant, car toutes les quêtes se font bien. Je n'ai vu que 3 quêtes, se déroulant dans la même zone, nécessitant de jouer à plusieurs. Elles portent le préfixe [HEROÏQUE 2+] indiquant qu'il ne faut pas y aller tout seul sous peine de se faire démembrer rapidement (les ennemis sont tous des élites et ils sont plusieurs). Elles sont complètement optionnelles.

En conclusion de ce test rapide du weekend, je dirais que SWTOR est plutôt excellent, qu'il va me réconcilier avec les MMO, et qu'il pourrait avoir un gros succès. Je ne sais pas si il écrasera WoW, car les joueurs se plaignent de la grande casualisation et facilité, ce qui est franchement un peu le cas avec SWTOR aussi. Mais sa qualité principale est qu'il est immersif, avec ses cinématiques et dialogues, et qu'il peut plaire aux joueurs adeptes du solo. J'espère avoir accès à un autre weekend de beta !

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Jeu du moment #2 Dragon Age Origins

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Résumé

L'engeance, une armée de monstres issue des profondeurs de la terre et guidée par les esprits d'anciens dieux, se soulève et prépare une invasion de la contrée de Ferelden. Ces créatures puissantes et repoussantes qui répandent leur malédiction semblent avoir pour but d'éradiquer toute forme de vie. Les Grey Wardens, ou gardes des ombres sur la version française, est un ordre de guerriers d'élite chargés de combattre ce mal soit par confrontation directe soit en unifiant les différents royaumes.

C'est donc naturellement parmi les Grey Wardens que vous allez vous retrouver dans le jeu, afin de mettre un terme à la menace grandissante de l'engeance sur les royaumes. Vous aurez pour cela à visiter divers lieux, recruter des compagnons et accomplir des quêtes.

Graphismes et univers

Les décors ne sont pas particulièrement jolis, accusant des formes grossières et des textures de basse qualité. Les personnages en revanche sont plutôt bien réussis surtout au niveau des visages. Les effets de lumière et de particules sont corrects même si ils ont tendance à ralentir sérieusement le PC, sans que l'on comprenne vraiment pourquoi.

L'univers est très riche, on pourra d'ailleurs ramasser au cours du jeu plusieurs livres ou documents dont la lecture est complètement optionnelle pour en apprendre plus. En jouant dans la version originale on reconnaît plusieurs accents célèbres. Par exemple les habitants de Ferelden ont un accent britannique, leur pays est d'ailleurs inspiré de la période médiévale de l’Angleterre. Les Orlesiens sont des français, les Antivan des italiens. Au cours de vos voyages vous rencontrerez aussi des elfes et des nains, dont la culture est très intéressante. Par exemple les nains ont différentes castes qui donnent droit à des privilèges et leurs intrigues politiques vous donneront un mal de tête. Les elfes quant à eux sont divisés : il y a ceux qui vivent parmi les humains, et ceux qui vivent en forêt.

L'univers de ce jeu est tellement riche qu'on a l'impression que chaque détail a été soigné, rien n'a été bâclé, le passé comme le présent a été construit de manière crédible et minutieuse. Rejouer à Dragon Age Origins c'est avoir la possibilité d'une seconde lecture, en découvrant de nouvelles choses, en testant d'autres possibilités qui vous permettront de mieux appréhender l'ensemble.

Gameplay

La première chose que l'on note dans ce RPG, qui est quand même extraordinaire, c'est que selon la race du personnage choisi, et son origine, il y a plusieurs débuts possibles. Jouer un nain roturier vous fera commencerer dans la ville souterraine de Orzammar et vous serez au service d'un seigneur du crime, n'ayant pas d'autre choix pour survivre. En revanche, choisir un humain guerrier vous fera commencer dans le château familial... ces différents "prologues" durent une trentaine de minutes, voire plus, et se rejoignent ensuite naturellement sur l'histoire commune. Cependant vous aurez quelques spécialités par la suite, comme revoir de vieux amis...

Chaque personnage dispose de caractéristiques (Force, dextérité...), compétences (herboriste, persuasion...) et talents (maniement des dagues, coup de bouclier...) qui vont déterminer ce que vous êtes. On pourra ainsi s'orienter vers un build tank, avec la maximum de force, constitution, portant l'armure la plus lourde possible, ou au contraire un subtil build d'assassin qui devra utiliser les bonus de critiques et la furtivité. Au long du jeu vous devrez accumuler de l'expérience et de l'argent pour pouvoir devenir plus fort et mieux vous équiper, et pour cela de nombreuses quêtes cachées sont à découvrir.

A la manière d'un KOTOR, il y a plusieurs choix possibles dans les conversations. Ceux-ci pouvant mener à des confrontations ou au contraire des arrangements. Pour mieux convaincre votre interlocuteur vous disposez de deux possibilités : la persuasion et l'intimidation. La différence est que la première fait appel à la ruse, et l'autre à la force. Que vous soyez un voleur ou un soldat, il est donc possible d'arriver à la même chose. Vos alliés ne seront pas forcément d'accord avec vos choix, et disposent d'une jauge d'approbation. Avoir une approbation élevée leur donnera des bonus, et parfois même une possibilité de romance. En revanche une approbation faible donnera naissance à des conflits pouvant parfois mal se terminer.

Lors de vos promenades vous dirigez un groupe de 4 personnes maximum, les autres restent au camp. Vous pouvez prendre le contrôle de vos alliés afin de leur donner des ordres et coordonner ainsi vos attaques. Il faudra veiller à construire une équipe équilibrée, dotée d'un tank pour contenir l'aggro, un voleur pour ouvrir les coffres/désamorcer les pièges, un mage offensif, un mage soigneur. Bien entendu, d'autres possibilités sont à tester et donneront de meilleurs résultats... ou pas.

Quant à la difficulté, personnellement je la trouve assez juste. A la manière d'un KOTOR, quelqu'un d'inexpérimenté dans le jeu ou dans les RPG en général risque d'avoir un peu de mal. Il faut trouver le groupe correct, l'équipement, les stratégies, pour commencer à bien avancer. Lorsque l'on a acquis une bonne maîtrise, et un bon build, le jeu peut devenir un peu trop facile. Mais encore une fois j'estime qu'il est normal d'être récompensé lorsque l'on sait jouer. Si on galérait même en jouant bien cela serait quand même énervant.

Un mot en revanche sur les DLC. Ceux-ci proposent soit des nouveaux objets, soit de nouvelles quêtes (ou les deux). Les objets sont malheureusement beaucoup trop puissants et rendent le jeu trop facile dès le début. Je recommanderai donc de ne pas les utiliser, désactivez-les dans le menu, ou détruisez-les. Ne les vendez pas car là aussi ils vous rapporteront trop d'argent.

Conclusion

Dragon Age Origins est un RPG riche, plaisant, abordable, qui satisfera les amateurs du genre et les fans des jeux Bioware. Ce jeu étant actuellement rendu à un prix assez bas, n'hésitez pas à l'acheter si vous avez l'occasion (surtout en périodes de soldes Steam).

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Minecraft dans sa sauce 1.8

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

J'ai acheté Minecraft cet été à l'époque de la 1.7 et même avant, et j'y avais relativement peu joué pour cause d'ennui et de manque d'intérêt. Je m'y suis remis en début de semaine, sur la version 1.8 et j'ai constaté beaucoup de changements.

Une véritable jungle

Alors déjà, la première chose que l'on remarque après avoir débuté une nouvelle partie, c'est qu'il y a visiblement eu beaucoup de changements dans la génération des cartes. On commence toujours dans une forêt très dense au point qu'on est parfois perché sur un arbre dès le début. Les cavernes sont très abondantes, il y en a partout, alors qu'avant on devait chercher de longues minutes. C'est un peu dommage, ça enlève un peu l'esprit Minecraft mais bon...

Aux secours, la regen de vie automatique !

Houla, l'interface a légèrement changé. La barre de cœurs est complétée par une barre remplie de cuisses de poulet, j'imagine qu'il y a une gestion de la faim. C'est pas mal. En dessous il y a une barre verte. La fatigue ? Ben non, d'après la doc c'est une barre d'expérience qui ne sert à rien pour le moment. Je rencontre deux creepers d'un coup, je tape en reculant et arrive à les tuer, mais un 3e arrive derrière moi et explose. Heureusement j'avais une armure de fer et j'étais dans l'eau, ce qui semble avoir limité les dégâts, mais j'ai quand même perdu plusieurs coeurs. Bon pas grave, on va manger un peu de viande de cochon... ah ben non en fait ça ne soigne plus, ça ne fait remonter que la barre de faim. Comment on se soigne alors ? Réponse dans un wiki : Si le niveau de nourriture est à 90% ou plus, le joueur regagnera de la vie progressivement.

En clair, Minecraft s'aligne sur la mode de la régénération de vie automatique, héritage des consoles, peut-être parce que c'est trop compliqué de gérer un medipack ou que la manette n'a pas assez de boutons pour ajouter un raccourci.

Difficulté bien rabaissée

Autant dire qu'avec l'abondance des ressources et des cavernes, on récolte plus rapidement les éléments nécessaires et on avance beaucoup plus vite. On a aussi moins de mal contre les ennemi, puisque l'épée permet maintenant de parer les coups (ou les flèches) et si elle est associée à une armure on ne subit que 10% des dégâts...

Minecraft s'en trouve grandement simplifié et accéléré, ce qui encore une fois semble aller à l'encontre de l'esprit du jeu.

World of Minecraft ?

Une autre nouveauté importante est la présence de donjons et villages. Je n'ai pas encore trouvé de village, en revanche j'ai pu visiter un donjon. Il s'agit d'une grotte assez vaste dans laquelle il y a des structures de bois, des ennemis (zombies, squelettes, creepers...) et des coffres qui trainent avec des lingots d'or.... ils sont assez faciles puisque j'y suis allé sans préparation, avec le stuff incomplet en métal et que je n'ai pas vraiment rencontré de difficulté.

Je mets ce point en parallèle avec le système d'expérience en préparation et aussi la mention de "sorts" dans les différents wiki. Des sorts ? On va pouvoir gérer de la magie et de la mana ? WTF ? Et puis on constituera un groupe avec des archers, des épéistes, des mages, et on ira investir les donjons dans lesquels il y aura des boss ? Peut-être faut-il y voir là une inspiration de Terraria, célèbre jeu en 2D qui se vend une poignée d'euros et qui reprend les bases de Minecraft en étant plus orienté action/donjons/boss.

Avenir

Alors que la version 1.8 de Minecraft est censé être l'une des dernières avant la sortie officielle "stable", elle intègre pourtant beaucoup de nouveautés qui devraient en amener d'autres très prochainement. On attend avec impatience de voir ce que cela va donner, mais l'esprit du jeu a beaucoup changé.

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Musique #3 Inna Modja

Rédigé par Xavier - - Aucun commentaire

Vous la connaissez forcément, les radios ont passé en boucle cet été son nouveau single "French Cancan". On aime ou on aime pas, mais la découverte de son album (qui ne l'inclus pas) sur Deezer fut plutôt plaisante.

Un style de musique calme mais coloré en instruments, une douce voix, parfait pour écouter en toutes circonstances. Voici l'extrait Mister H sur Deezer, titre qui a lancé sa carrière mais qui n'a toutefois pas inondé les radios.

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